Des militants bulgares le disaient déjà il y a deux ans : l'entrée de la Bulgarie dans l'Espace Schengen allait entrainer la venue d'un plus grand nombre de réfugiés, ce qui allait entrainer des réactions violentes de l'extrême-droite. En fait, il n'aura pas fallu attendre l'entrée dans l'Espace Schengen, l'arrivée de quelques milliers de Syriens aura suffi.
D'un côté, un gouvernement fragilisé par les manifestations et les mouvement sociaux, gouvernement auquel participe le parti d'extrême-droite Ataka. Et on obtient la multiplication des propos xénophobes de ministres et la construction d'une clôture le long de la frontière avec la Turquie.
http://balkans.courriers.info/article23622.html
De l'autre, des groupes d'extrême-droite prêts à la violence.
http://balkans.courriers.info/article23629.html
Ou des villageois hostiles à la présence chez eux d'étrangers perçus comme dangereux.